Yanook c’est qui ? Yanook c’est quoi ?
- Yanook c’est l’idée de Yannick Silva, ingénieur palois de 38 ans, fondateur de la start-up NConcepts et installé à Hélioparc, une pépinière d’entreprise basée à Pau.
- Yanook c’est la vidéo que tout le monde a vu passer au cours du confinement : ce petit crochet qui sert à toucher, presser, tourner, appuyer sur des interrupteur… Sans entrer en contact avec notre peau !
- Yanook c’est ce que certains appellent un ouvre-porte, une clé multifonctions, le couteau suisse du COVID ou tout simplement le crochet hygiénique
- Yanook c’est une idée qui est née en France, qui est fabriquée en France, qui a permis de relancer l’économie et qui aide à sa manière la France et les français à vivre avec le coronavirus.
- Yanook a donc forcément été copié, c’est la rançon de la gloire… Avec son lot de copies en zinc, en aluminium, fabriquées en Chine, vendues en dropshipping… Bref, de pâles copies, ni en inox 304L hygiénique, ni solide, ni fait, ni à faire…
Mais, heureusement pour nous et notre pays, Yanook l’ouvre-porte hygiénique, a eu récemment droit à sa place dans les journaux. Focus :
Presse quotidienne régionale, presse nationale, presse spécialisée : Yanook, notre crochet ouvre-porte hygiénique, a été mis à l’honneur dans de nombreux médias. En pleine crise du COVID-19, cette simple idée de clé multifonction que nous voulions accessible à tous les particuliers, toutes les entreprises, toutes les institutions a bénéficié d’une visibilité à laquelle nous ne nous attendions pas. Petite liste non-exhaustive des articles qui ont mis à l’honneur le crochet hygiénique Yanook :
Une success-story. "Yanook", c'est le nom d'un petit crochet que tout le monde s'arrache. Ce petit objet de 19 grammes et de 8 centimètres permet d'ouvrir des portes sans avoir à toucher la poignée ou encore pousser son chariot, composer son code bancaire...
Découvrir notre ouvre-porte sur Capital.fr
Poignées de porte, sonnettes ou boutons d'ascenseurs sont devenus avec le Covid-19 des obstacles redoutés pour éviter la transmission du Covid-19 : une petite entreprise de Pau vient de mettre sur le marché "Yanook", un petit crochet multi-usages se substituant à la main.
"C’est en observant vivre mes enfants, ma famille, que je me suis rendu compte de la quantité de choses que l’on touchait avec nos mains", raconte Yannick Silva, ingénieur palois de 38 ans.
Voir notre crochet anti-virus sur Challenges.fr
Gadget de circonstance. Depuis que l’épidémie de coronavirus a atteint le territoire français, les recommandations sanitaires sont implacables: il faut se laver les mains avec du savon aussi souvent que possible, surtout quand on est sorti de chez soi.
Le covid-19 reste effectivement infectieux pendant au minimum quelques heures et jusqu’à plusieurs jours lorsqu’il se trouve sur une surface inerte, en fonction de la composition de celle-ci et de sa température.
Une poignée de porte, une table, un bouton ou un clavier d’ordinateur peuvent ainsi être des sources de contagion non négligeables. C’est la raison pour laquelle Yannick Silva, un entrepreneur installé à Pau, dans le Béarn, a eu l’idée d’une invention bien pratique: Yanook.
Lire l’article sur notre clé multifonctions sur Huffingtonpost.fr
À Pau (Pyrénées-Atlantiques), le Capitaine Crochet a inspiré NConcepts. La société d'ingénierie a conçu un (strong=)crochet en inox pour réaliser un bon nombre de gestes du quotidien : verrouiller une porte, appuyer sur un bouton, suspendre un sac… Il faudra sans doute nettoyer le petit outil régulièrement mais il répond aux normes hygiéniques alimentaires selon l’entreprise. Le produit est commercialisé à 7 euros pièce sous la marque Yanook (dont 1 euro reversé aux hôpitaux).
Capitaine Crochet : notre inspiration pour L’Usine Nouvelle
"C’est en observant vivre mes enfants, ma famille, que je me suis rendu compte de la quantité de choses que l’on touchait avec nos mains", raconte Yannick Silva, ingénieur palois de 38 ans.
Une commande, en parallèle, d’une société locale pour des protections de poignées de portes, achève de le convaincre de la nécessité d’une invention.
Son crochet baptisé Yanook est une pièce en inox de 20 grammes, à peine plus grande qu’une clé de voiture. "Il a été pensé pour accrocher les poignées de porte ou les loquets, appuyer sur les boutons d’ascenseurs, les sonnettes, les interrupteurs, les touches de terminaux bancaires, attraper les robinets", détaille l’inventeur, fondateur de la start-up NConcepts, installée dans une pépinière d’entreprises paloise.
Découvrez Yanook sur Ouest-France.fr
C'est un drôle d'objet avec un drôle de nom qui est désormais vendu chez les buralistes. Yanook permet de réaliser plusieurs actions du quotidien en réduisant les risques de contamination par contact : ouvrir une porte, utiliser un robinet, tirer une chasse d'eau, débloquer un loquet, appuyer sur un interrupteur ou un bouton d'ascenseur ou encore éviter de poser son sac en le suspendant à une table.
Pour concevoir cet objet multifonction, Yannick Silva son inventeur a réalisé une vingtaine de prototypes par impression 3D. L'entrepreneur a parcouru sa ville de Pau pour l'essayer sur différents modèles de poignées de porte ou de toilettes publiques.
Yanook le crochet personnel qui bannit les contacts
En définitive, vous l’avez compris, le crochet multifonction Yanook est un produit pensé en France, développé en France, produit en France, répondant aux normes françaises. Ne vous y trompez pas lorsque vous commandez votre crochet antibactérien, comme le prouvent ces articles de presse le seul qui vous protégera vraiment et protégera vos proches, c’est Yanook !